Seule, regardant passer la vie,
Seule, soupirant de mélancolie,
Seule, dans tout ce mépris,
Seule, en larmes sur un lit,
Seule, guettant l'aproche de la mort,
Seule, se laissant aller au dehors,
Seule, muttilant ce corps,
Seule, avec tristesse s'endort,
Seule, maudit ses choix,
Seule, serre dans ses doigt,
Seule, pleurant sur l'endroit,
Seule, se l'amantant sur le desaroi,
Seule, un coeur perdu,
Seule, un ange déchu,
Seule, une âme morte
Seule, la main sur la porte,
Seule, n'ossant pas entrée,
Seule, découvrir sa destinnée,
Seule, regrettant ses eurreures,
Seule, maudissant cette peure,
Seule, ouvrant les yeux, seule, évitant les yeux,
Seule, les phobies extrèmes,
Seule, perdue, en peine.

Mon ange gardien est toujours la,
A veiller, près de moi,
Quant je m'endors, quant je pleure,
Il est la, dans mon coeur,
Il est invisible a mes yeux,
Peut être perdu perdu dans les cieux
De ce monde cruel,
Il déploie ses ailles.
Il me laisse pour toujours,
Il me dit de revenir au jour
De revoir a la vie,
De quiter cet interminable nuit.
Mais avec lui parti,
Je suis nue, je suis meurtrie,
Je reste en trance,
Dans cette efroyable absance,
Je l'atands,
Je me languis,
De ses réconfors,
De cet ange mort.

Je voudrais passer un petit message a quelqu'un qui m'est totalement
inconnu, mais que je comprends par le comentaire qu'il m'a laissée, je ne veux
pas faire ta mère, il ne faut pas fumer, pas boire, pas se tailler, pas sécher
les cours etc, les conneries habituelles, mais juste te passer quelques mots
sincères.

Ils y a des périodes dans une vie, oui on a juste envie de partir, ou on se dit
que ce serais si simple de tout lacher, de se getter dans les abbises
ténébreuses, et voir ou est le fond. Mais la vérté est qu'il n'y a pas de fond,
la vie est merdique, il y a plus de soufrances que de bonheur, plus de pleurs
que d'amour, plus de peines que de joies.

Mais il y a des chauses pour quoi elle vaut la peine d'être suportée cette
vie,  ces tout petits mots qui la rendent si meirveilleuses, si
romantique.

Cultive toi, vis tes peines et ta misère d'une façon acptable, ne plonge pas
la tête en bas.

J'ai vécu des chauses horibles ces 6 dèrnières annés de ma vie, depuis que
j'habite en france je ne connais que misère et soufrances, je n'ai jamais été
"comme les autres", toujours dans mon petit monde si sombre, si
délicieux. Mais après tout, ne se réjouit on pas de ses peines ? N'éprouovent
on pas un grandplaizir a se plindre de notre misère ?

Qu'est ce que la vie serait enuyeuse si tout était parfait !!

Moi je commençait a desesperrer après cet été, j'ai eu quelques problèmes dont je ne souhaite pas parler ici et je commençait a ne plus coire en l'amour, pas les petits bizous de la cour de récrée, l'Amour avec un grand A.
Mais pourtant il est venu a moi,  et je me suis dit que cette vie vaux d'être vécue rien que pour ces quelques secondes de bohneur total quant nos yeux se croisent, et qu'on détourne le regard, génés ...

Ca c'est mon amour, mon plazir mon délice personnel, après il viens sous diférentes formes et couleurs, le mien est noir et discret, avec des éclats de bonheur telements intense qu'ils me sufisent, même si je rêve d'un jour oser aller plus loin ...

Voila pour toi, quelques mots pour te dire de ne pas perdre courage, de résister, et d'atandre, les belles chauses prennent du temps !