Je viens de passer un des weekends les plus ... normals de ma vie.
Ennuyeux, solitaire, triste et légèrement déprimer.
Pour tout résumer je mène ma vie comme elle a toujours étée, et comme elle la sera surement toujours.
Je me suis calée devant la télée et j'ai regarder en tout 12 heures de "desparate housewives" en anglais. C'est une série pas trop mal, mais que je vois beaucoup de moyens de l'assombrir un peut ...
J'ai fait de la guitarre, j'ai manger comme un porc (je sais il faut que j'arète).
Mais ce n'est pas pour quoi je fait cet article.

Ce weekend est l'un des plus bloodys que j'ai jamais connus, je me suis réellement fait saigner, comme je l'avais rarement fait avent. Et je l'ai fait avec beaucoup de plaizir.
Je me sens déprimée et triste, en besoin de quelque chause a me racrocher dans ma vie.

Tout me déprime, je veut maigrir, je veut trouver ma place dans ce monde.

Je me demande ce que j'ai put faire comme conneirs, un mec qui est tout lposé de moi m'a demander, alors que j'étais entrain de tomber amoureuse de quelqu'un de bien. Je n'ai pas réfléchi, j'ai dis oui même si c'est le genre de mec a écouter de la techno et du rap, a s'habiller en rouge, j'ai saisit ma chance car je n'ai jzmais vrément eu de vrai petit ami, il y a eu des garçons vite fait dans ma vie ... mais sans plus, et celui la ne va surement pas être le "plus", je ne sais plus quoi faire. Je suis amoureuse, je commence a le comprendre. Mais pas de lui.

J'ai peur de casser au cas ou je perdrais son amitié qui m'était importante, mais ce n'est vrément pas mon price charmant, et aussi que celui que j'aime ne m'aime pas, que nos deux univers ne puissent pas en faire qu'un.
Quel bahut de merde !! Pourquoi j'ai changer pour venir dans un truc catholique ou il est interdit par le règlement intérieur de ne pas s'habiller en fashion ?? POURQUOI ??

Cet après midi,e je me suis alongée sur mon tapis en fourure sintétique de mouton que ma mère a acheter pour décorer ma chambre (murs bleu cieil et sol en parquet, j'adore !!), un encent a la rose alumé, du Korn a fond, et le rideau de mon vélux fermé, un vieux bout de tissu sur la fenêtre pour cacher la lumière. J'était presque entièrement dans mon univers, et j'ai commencer a me découper après avoir soigneusement casser un des rasoirs de mon père. Et j'ai pleurer, pleure ma vie, pleurer mes rêves, pleurer egoïstement en me plaigant de toute mon âme d'avoir la pire vie que j'urais pue avoir.

Ca m'a fait le lus gran bien. Je n'hésiterais pas a recommencer.