• Tu dis que nous sommes les mêmes ...

    Nous avons peut être grandi dans le même environnement, et resortons d'une façon bien étange dans ce nouveau monde.
    Mais une chose nous différencie. Une chose que tu ne comprendras jamais. La notion de solitude t'est étrangère, l'envie de pleurer, d'avoir mal tu ne connais pas. Le regard de la mort en face.


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  • Si on vous donnais 5 184 000 euros par jour, que vous pouvea dépenser à votre guise sur tout ce qui vous fera envie, qu'en feriez vous ?

    Mais attention, il y a quelques règles, cet argent ne se reporte pas d'un jour a l'autre, tout ce qui n'est pas dépenser est perdu, aucune forme de tricherie n'est possible (virement vers un autre compte bancaire par exemple), et a tout moment ce versement peut s'aréter, sans prévenir.

     

    Répondez et regardez plus bas ...

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    Comparez ces 5 184 000 euros a des secondes de vie, car il vous en est donné 5 184 000 par jour, que nous gaspillons bêtement.
    N'essayez pas de me dire maintenant que l'argent ne fait pas tout dans la vie.


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  • En cours de physiques, nous avions commencer a étudier la lumières et les couleurs, et je me suis rendue compte de quelque chose.
    Si le blanc regètte la lumière, et les couleurs certaines lumières, alors que le noir l'absorbe et la conserve, peut être que ce n'est qu'une forme d'égoïsme de notre part. Car bien entandu, il n'y a pas asses de lumière dans notre vie, alors nous essayons d'en absorber le plus possible. 

    Moi j'ai peur de me retrouver seule dans un abime sans fond, perdue dans l'obscurité, alors les gens se demandent pourquoi je m'hablle seulement en noir, ce n'est pas la réson initiale, mais si ca me permet de garder un peut de lumière pour le moment, profitons-en !! 


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  • Elle marche, seule, je l'apercoit de loin, car rien sur elle n'est remarquable, la tête baisée, elle marche dans cette rue bondée sans jamais effleurer un autre être vivant, sans lever la tête. Et parmis tous ses gens, c'est elle que je remarque, elle porte un long menteau noir, comme on en vois beaucoup en hiver, plutôt banal, elle ne mets pas les mains dans ses poches, pourtant elles sont bleues, mais elle ne semble pas le remarquer, ses cheveux blonds flottent légèrement dans son dos, au rythme de ses pas.
    Elle a les yeux a moitié fermés, pourtant elle ne tribuche pas, son pontalong traine sous ses chausures, et se déchire un peut plus a chaque pas, mais elle ne s'en soucie pas, rien de très remarquable, une collégiène sans doute, je ne sais pas.
    Elle marche lentemant, au même pas que tout le monde, je suis facilement a sa hauteur, sans non plus effleurer le moindre objet solide, seul l'ai froid a l'air de pouvoir l'atteindre, mais il l'atteint de manière respectueuse et domminé. Elle n'a pas le nuage de buée devant la bouche, comme tous les autres, peut être ne respire-telle pas. Quelque chose cloche, je le sens, ça ne vas pas. Elle s'écroule, par réflexe je l'atrape et l'empêche de s'exploser la tête constre le béton, personne ne semble avoir remarqué, son pouls ne bats plus, ses yeux lourds, tellement maquillés qu'on diraient qu'ils sont noirs, mais avec une lueur bleu, une lueur de vie dèrière ce masque. ses cheveux tombent sur sn visage, elle ne bouge plus.

    Sa silouhette s'éfface lentement dans mes bras, jusuq'à me laisser, enlacée avec l'air, quant je me rends compte que cette étrangère c'est moi.


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  • Je me sens si bien avec toi
    En sécurité dans la prison de tes bras
    J'ai tellement souffert
    Que j'ai du mal a garder les yeux ouverts
    Mais quant tu m'embrasse
    Mon coeur s'allume d'une nouvelle flame
    Je vois le contraste
    Entre le noir de tes yeux
    Et le rouge de ton âme.

     


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