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Au début, c'était comme dans mes rêves les plus fous
Tu m'as embrassée dans le cou
Tu voulais qu'on marche un peu
Tu m'as pris la main, tu semblais si heureux
Tu m'as emmenée un peu à l'écart du monde,
Dans une petite ruelle toute sombre
Je m'en suis rendue compte trop tard
Mon rêve allait devenir un cauchemar
Tout à coup, tu n'étais plus le même
Tu m'as plaquée contre le mur, fini les 'je t'aime'
Tu m'as dit que t'avais envie de moi
Que je ne pouvais rien contre toi
Tu m'as tenue contre le mur et tu as serré,
Une main sur ma bouche pour m'empêcher de crier
Je sentais ton souffle rauque dans ma nuque
Tandis que tu m'arrachais ma jupe
Je ne savais pas quoi faire
Ta main toujours sur ma bouche m'obligeait à me taire
J'essayais de m'échapper
Mais tu me tenais avec fermeté
Je sentais mes jambes fléchir
J'ai cru que j'allais mourir
Je te suppliais du regard
Mais c'était sans espoir
Ma jupe tombée par terre
Ton jean déjà ouvert
J'étais épouvantée
Mais toi, tu riais
Tu t'es collé contre moi
Il n'y avait plus que ma culotte pour me séparer de toi
A ce moment j'ai prié Dieu de m'évanouir
Pour ne plus entendre tes soupirs
J'ai ressenti une douleur atroce
Tu m'avais pénétrée avec force
Tes mains exploraient chaque parcelle de mon être
Je ne pouvais plus crier, aucun son ne sortait
Tu prenais ton pied, j'étais ton jouet
Quand ça ne t'a plus amusé
Tu m'as retournée
Et t'as recommencé
Par derrière, pour changer
J'ai eu encore plus mal
Je me sentais si sale
Tu m'avais souillée,
Ruiné ma vie à jamais
Quand t'as senti ton plaisir venir
Tu m'as agenouillée devant toi
T'as ouvert ma bouche, y enfonçant tes doigts
Et tu m'y as enfoncé ton dard, sans prévenir
J'avais envie de vomir
J'avais envie de mourir
T'as évacué ton sperme dans ma bouche
Tu m'as forcé à avaler toute la louche
Et puis t'es parti
En me laissant là
Seule, nue et meurtrie
Au plus profond de moi
Tu m'as juste fais jurer
De ne jamais en parler
Disant que t'étais sûr que j'avais aimé ça
Même si je ne l'avouais pas
Je t'aimais, tu sais
Et ma virginité,
Je te l'aurai donnée
Si t'avais pensé à me le demander
Avant de me violer !Je n'ai pas écrit ce poème, et je n'ai pas été victime d'un viol, mais la personne a qui il est destiné ici se reonnaitra, resaisit toi ma belle !! Ce n'est pas la fin, reprends ta vie, même si je comprends ce que tu a subi.
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Je ne savais plus du tout qui j'étais,
Ce que je pensait,
Et tu est arrivé,
C'est la que les choses ont commencer a empirer.Dès que nos regards se sont croisés,
J'ai su qu'un jour je t'aimerais,
Ou plutôt j'ai penser,
Que peut être je sufirais.Mais moi je ne savais plus qui j'étais,
Tout ce que je savais,
C'était que je partais, je m'évaporais,
Pour ne plus revenir, jamais ...Puis ce beau matin d'automne
Tu est venu vers moi, encore j'en frisonne
Et tu m'a demander
D'être avec toi, de t'aimer.Sans hésitations j'ai dit oui
Car pour moi tu cera toujours celui
Avec lequel j'ai partager ce baiser
Qui me resta dans le coeur, pour l'éternité ...
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Parfois je me pose cette question
Comme bien d'autres avent moi
Est ce que je suis quelqu'un de bien ?
Ou juste un autre des petits éléments de cette terre.
Partout ou je regarde, il y a le simbole de l'égalité, mais elle est camouflée par cette hiérarchie partout présente.
Partour, on sépare le plus intéligent du plus bête, le plus riche du plus pauvre, le plus beau du plus moche ...
Je ne suis pas une exeption, c'est pour cela que je me demande,
Si je ne suis pas aussi pire qu'eux.On me dit que non, qu'on m'aime qu'on m'admire, mais quelques pensés se cachent dèrière ces sourires ?
Je ne sais pas, je me pose des questions, est ce que je gène, que pense vrément les gens de moi ?Est ce que je suis quelqu'un de bien, mes pensés maslaines, mon envie de faire du mal ... Qui suis-je, vrément, dans le fond ... ?
Ne suis-je pas un mensonge moi aussi ?
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Je ne devrais plus penser a celà
Je devrais être bien, que toi et moi
Mais mes cicatrices rèstent
L'emblème que je ne suis pas une déesse.Je ne peut pas m'empécher de penser
Que tu serais mieux avec quelqu'un de moin dérangée.
De moins sombre
De moins étrange.Car peut être,
Qu'un jour tu trouvera un ange.
Et vous vous aimeriez
Pour toute l'éternité.La promesse d'un baiser
Rompu seulement par la mort
Le souvenir estompé
De l'amourt de ce corps.
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Je saigne,
Tu ne comprends pas pourquoi,
Je devrais être heureuse,
Ici avec toi,
Je ne devrais plus être la porteuse
De cette douleur,
De cette splandeur.Car cette vie est magie,
Toute cette peine,
Tout cet enui.
Nous allons ou la lumière nous mène
Un chemin,
Qui a depuis trop longtemps
Perdu le fil du destin.
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