• C'est Noêl, depuis sptembre tout le monde en parle, compare le prix du cadeau qu'ils savent que leurs parents vont leur offrir.
    Je n'aime pas cette période, je ne saurais dire pourquoi ... Ce n'est pas aprce que je veux faire "ado rebelle" ou quelque chose du genre mais je ne sais pas, tout le monde essay d'être heureux, mais c'est une période lamentable.
    Je n'en peux plus d'être loin de toi mon coeur.
    Pff enui total, je ne me rends même pas compte qu'on est en vacances.
    Pourquoi je n'ai pas de nouvelles de toi depuis longtemps ? J'essay de t'apeler mais tu me racroche au nez, ques ce qui ne vas pas ?

     


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  • Je lis des mots si joliment écrit sur un blog comme les autres ...

    Ils me rapelent des souvenirs, de ma vie mais aussi d'autres sourires. Les expériences d'une autre, ditent avec des mots qui ne lui sont pas propres. Car ces quelques petits vers elle les a trouvés, sur un blog comme les autres, elle en a lu quelques mots, celà lui a plus. Vive le copier/coller. Cela détruit la personalité, annéantis l'originalité. Ecrivez vos propres textes, même si ils sont resemblant aux autres, ils senront beaucoup plus beaux si ils viennent de votre propre coeur.

    Car j'en ai marre de sentir toujours les mêmes odeurs, de revoir toujours les mêmes sourires, de relire toujours les mêmes mots, pour finalement juste éviter la peine d'avoir a écrire ...


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  • Loin des yeux près du coeur,
    Cette exprésion qui me fait compter les heures,
    Avent de te revoir,
    D'enfin Pouvoir,
    Te sérer dans mes bras,
    Etre a nouveau contre toi.

    Entendre ton coeur battre
    A tout rompre, avoir le gou acre
    De la fummée de la bougie,
    Qui brûle sans flame,
    La bougie de l'amour,
    Qui se consume et qui brûle mon âme.

    Que ce monde est cruel,
    D'avoir punésé mes ailes,
    De m'empécher de te rejoindre
    Tout pour ne plus avoir a craindre
    L'incedie de mon amour
    Brûlant châteaux et tours.

    Le feu dévastant tout sur son passage,
    Ne laisant plus ce que triste rivage
    Ou j'ai vu ton visage pour la dèrnière fois,
    Etre tirré, emener loin de moi.
    Je ne survis plus,
    Tu me manque, je suis déchue.


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  • Sur une feuille de noir j'ai écrit ton prénom
    Dans un miroir j'ai vu ta réflexion
    Je relis tes mots
    Je revois tes sourires.
    Nous étions deux tourteraux,
    Prèts a tout sauf partir.

    Jamais jamais te quiter,
    Le choc pourais m'anéantir,
    Me briser,
    Sans jamais pouvoir mourir.
    Ton coeur qui bat nourit mes rêves,
    Me serrer dans tes bras sans trève.

     


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  • C'est si dificile de prononcer ces mots dévastateurs,
    Ce n'est jamais facile d'avouer qu'on en a peur
    Car la peur sera toujuors ce qui nous nourit,
    Elle est au plus profond de nos peines, nos envies.

    Enfin je t'ai trouvé,
    Ensemble a jamais,
    Ne me laisse pas mourir,
    Je ne veux plus jamais partir.

    Merci d'avoir été avec moi quant j'avais besoin,
    Tu a été la, quant je voulais quelqu'un,
    Quelqu'un qui me prendrais dans ses bras,
    Et qui pleurerais pour toujours, des larmes pour toi et moi. 


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