• Ce matin en me regardant dans la glace, je me suis rendue compte d'une chause, je suis désoler si celà va décevoir cetaines personnes qui m'ont laissé de très gentils commentaires ici, que je viens de re-lire et par lesquels j'ai été très troublée.

    Je ne suis pas quelqu'un de bien, tout ce qu'il y a de moi, c'est là, mes cheveux blonds en batailles, mes yeux bleu de petite fille gatée et pleurnicharde, mes bras rouges, ma graisse, mes pieds trop grands.
    Il n'y a rien dèrière ça, c'est moi, camouflée dèrière ce masque de noir, c'est tout ce que je suis, une blonde qui ne sais que se plaindre de sa vie. Une insuportable gamine qui en veux toujours plus, qui n'est jamais contente de ce qu'elle a.
    J'ai honte, je n'ose plus me porclamer gothique, je suis un état d'esprit, je colle des postères a mes murs sans savoir le nom du groupe représenté dessus.

    J'ai des parents qui m'aiment, des amis et une belle maison a la campagne, j'ai 3 grands parnts sur 4 encores de ce monde, et une arière-grand-mère. J'ai une chambre de 28 mètres carrés, sous les combles, bien sombre.
    Je ne suis qu'une salle gosse égoïste, je ne mérite pas d'écire ces poèmes, je ne mérite pas de me lamenter sur ma vie.

    Excusez moi, mais je ferme ce blog.

    Adieu. 


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  • Depuis quand me connais tu ?
    Tu te dis être une "âme perdue" ?
    Tu m'a dis être rien qu'à toi
    Pour une année
    Puis tu m'as rejettée

    Tu te considère humaine ?
    Mon amie, je ne veux pour toi plus que de la peine
    Moi je suis personnele
    Et pour ca tu m'a laissée tombée,
    Tout les souvenirs, poubelle. Oubliés.

    Tu sais ce que c'est que l'amitiée,
    La chause que tu a pour moi tellement négligée,
    Tu est remplie de jalousie,
    Tu continue ton chemin,
    En essayant de ne penser que au lendemin. 

    Pour quoi m'a tu prise ?
    Un divertisement, une sottise.
    Tu n'était pas mon bouche trou
    Je te suportais,
    Tu étais un jour apréciée. 

    Maintenant ou en est tu ?
    Moi je ne serais plus jamais perdue,
    Ce sentiment qui avec toi,
    Règnait sur mes nuits,
    M'interdisant le paradis.

    Pourquoi voulais tu m'emprisonner ?
    Dans cette minuscule cage de l'amitiée.
    Je voulais être libre,
    Tout en te conservant dans mes souvenirs,
    Partir pour ne plus revenir. 

    Savais tu que c'était toi ?
    La réson de mon départ, de mon désaroi,
    J'ai du lacher mes amis,
    Tuer mes espoirs,
    Pour ne plus devoir te voir. 


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  •  

    Je voudrais réagir au comentaire d'un certain Alain, qui s'est permis de me juger au seul fait qu'il a vu la couleur du fond de mon blog et le nom d'un de mes articles qu'il crois que je suis une déprésive adolecente qui pouris la vie aux plus âgés.

    Oui, je n'ai que 13 ans, oui, j'ai une vie de riche, oui j'ai mes deux parents, oui je sais que des gens envient mon cas, oui je sais que je ne suis pas un thon, oui je sais que beaucoup envient mon cas, oui je sais que je ne suis qu'une ado gattée qui se plains pour rien.
    On m'a sufisament fait la morale, je ne suis pas non plus la pire.

    Je regarde la vie comme elle m'est montrée.
    Et personnelment, je la trouve magnifique aussi sombre qu'elle soit.
    Une vie pleine d'amour de couleurs et d'amitiée, sans coeaurs brisés, sans petites misères, quel ennui !! D'ou viendraient les poèmes ? D'ou coullerais le sang ? Je ne pourrais pas survivre dans ce monde là.
    Je me nourris de mes misères.

    Donc l'enfant, elle t'merde, il n'y a pas d'autres terme, tout le monde a des problèmes ? Et bien alors que pour une fois dans ma vie, je suis comme tout le monde.

    Pour les fautes d'orthographe, dabord tu n'a rien a me dire, c'est mon blog, et ensuite je ne le fait pas exprès, j'ai horreur du language sms, mais pour une anglaise je pense que mon orthographe n'est pas si mal.

     Voila un petit mot pour toi, qui m'a si gentilment laisser un comentaire, et que j'ai si méchament pas aprécier.


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  • La belle au bois dormant
    Dans son palais éclatant
    Attands patiament,
    Son beau prince charmant.

    Chez moi tout est noir
    Et les rêves ne sont plus que cauchemards
    Moi aussi je l'atands,
    Mon chevalier vaillant.

    Il arrive, et la prends,
    Sur son destrier blanc
    Avec son bouquet de fleures,
    Et ses sourires de petit coeur.

    Moi je m'en vais. Errant
    Sur les chemins du néant,
    Personne n'est la
    Pour me prendre dans ses bras.

    La jolie princesse,
    Vit sans tristesse
    Avec le prince charmant
    Et ils eurent beaucoup d'enfants.

    Enfin je les ait trouver
    Le prince et son destrier
    Ou du moins ce qu'il en reste
    Car il en a vu défiller des princesses

    Depuis qu'il a quiter
    La belle et toute sa portée.


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  • Tu n'existe pas,
    N'est ce pas ?
    Tu est mon petit rêve,
    Mon fantasme rien qu'à moi.
    Quant le soleil se lève
    Je croyais te voir tout là-bas
    Mon ange
    Mon guardienrien qu'à moi
    Je veux crier
    Te faire tes louanges,
    Me déchirer. 


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